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 escape is not always essential, tristan.

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Héloïse C. Porter

Héloïse C. Porter


Messages : 27
Date d'inscription : 02/07/2009

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MessageSujet: escape is not always essential, tristan.   escape is not always essential, tristan. EmptyLun 20 Juil - 15:52


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« Si l'on ôtait les chimères aux hommes, quel plaisir leur resterait-il ? »
Fontenelle


    Il y aurait toujours une part de vous-même qui entretient l’illusion, la voix vers une vision chimérique et imaginaire. Et c’est cela qui vous fait basculer dans l’espérance propre de l’optimisme et du soleil balançant de votre enfance. Avait-on la moindre certitude de quoi serait demain ? Avions nous entre nos mains la vérité sur un avenir sur et certain ? Etions nous de pauvres agneaux égarés, ceux que dieu - s’il existe s’entend - aurait laissés seul face a l’abandon et la solitude ? Toutes ses questions, n’avaient encore aucune réponse plausible pour le moment. Le seul propos véridique que nous savions en cette heure, était que nous étions les maitres de notre avenir propres. Sur les douces pensées de la vie et de leur semblant d’existence, la Douceur se questionnait toujours ainsi lorsqu’elle laissait son esprit vagabondait entre les diverses énumérations de son conscient. Prostré sur un rebord de fenêtre de son dortoir, la brune aux reflets de cuivre s’adonnait a parcourir de son regard d’écorce le énième manuscrit de ce célèbre Epicure. Ce dernier était l’un des auteurs favoris de la demoiselle Porter, son avis sur la manière d’apprivoiser la vie et le sens de la philosophie de la vie, lui avait été bénéfique a une période plus complexe et mélancolique de sa vie d’adolescente. Si vous pensiez que profiter de l’humanité en vous satisfaisant du moment présent alors vous appreniez un maximum de choses - sachant que chacun trouvait midi a sa propre porte bien évidement.

    La fenêtre du dortoir des filles de cinquième année étant ouverte, une faible brise de vent vint jouer dans les fines boucles brunes de la lionne, qui sous la fraicheur du vent esquissa un tendre sourire d’audace. Le temps était venue pour elle de laisser sa lecture de coté, pour enfin allez prendre l’air mais aussi se rendre a son prochain cour qui avait lieu dans un peu moins de deux heures. Mais avec ce laps de temps, la jeune Porter pouvait vaquer à des occupations qui la mettraient de bonne humeur. Cornant l’une des nombreuses pages de son vieil ouvrage ayant vécu la guerre de « cent ans » et traversé les âges, Héloïse sauta de son « perchoir » et déposa au passage sa lecture sur son lit pour en suite prendre la sortie du dortoir. La salle commune qu’elle fréquentait depuis quelques années, n’avait aucunement changée, et les couleurs lui semblaient figées dans le temps comme si rien n’avait changé durant les vacances de la saison tropicale. Lorsqu’elle pénétra au sein de la salle commune de la maison des érudits, la mystérieuse toisa la pièce d’un regard circulaire et s’aperçut que seule une horde de garçons campés les lieux. Pauvres âmes vagabondes ! Vêtue de l’éternelle tenue vestimentaire de Poudlard, la bleu et argent s’avança d’une démarche tranquille et neutre vers le portrait figurant qui lui permettrait de sortir de la tour.

    « Hey Porter, tu ne vaudrais pas me donner un coup de main pour mon devoir en métamorphose ?! ».

    Cette voix ! Quel son terrible. Il reflétait l’arrogance et la confiance bien trop lourde surtout pour Henry Macleod. Ce pauvre malheureux ne pouvait agir seul, toujours avec sa bande de singes soit disant courageux. Longtemps, Héloïse c’était demandée comment avait il put atterrir au sein des Serdaigle, cependant la douce n’irait pas jusqu’à contester la décision du vieux bout de chiffon qu’il l’avait lui-même répartie cinq auparavant. L’adolescente de dix sept ans, se retourna et de son regard impassible elle répliqua.

    « Bien sur avec un bon coup de pied cela devrait se faire tout seul Macleod. »
    « Hey ! »

    Un ricanement ironique digne d’un carillon se fit alors entendre de la part de la brune. Croisant les bras, elle l’observa une fraction de seconde et reprit son chemin vers le parc du domaine magique. La descente des grands Escaliers était comme toujours un plaisir dont elle comparait la traversée a un magnifique dédale. Le dédale du minotaure n’avait pas son pareil tout a coté des nombreux corridors aux mille et un portraits tout aussi fascinants les uns que les autres. Sur son sa route, la poursuiveuse de Quidditch reconnut quelques visages familiers et d’autres dont elle ne connaissait même pas l’identité. Bien qu’elle soit très ouverte et chaleureuse, Héloïse n’en demeurait pas moins une personne assez méfiante. Son aplomb et son sens de la témérité étaient surement les maitre mots chez cette demoiselle, néanmoins la réserve et la modestie leurs faisaient une certaine concurrence pour sur. Alors qu’elle allait franchir la grande porte principale qui la mènerait à la verdure du dehors, l’audacieuse brune entendit son prénom au loin. Tournant légèrement le visage en direction de l’appellation, la Porter ne fut guère surprise de découvrir, son vrai d’un an son ainé. Ce dernier prénommé Dwight avait toujours l’œil protecteur et averti, lorsqu’il s’agissait de sa cadette. Esquissant un sourire aux commissures de ses lèvres, la Douceur secoua sa bouille d’ange d’un air comique.

    « Tu n’as pas encore un cours ? »
    « Si, je vais juste prendre un peu l’air avant de subir un énième cours d’histoire de la magie. Cette matière est d’un ennui pas croyable, bien qu’il soit nécessaire aux examens de fin d’année. »
    « Je partage ton avis frangine. »
    « Mais viens en plutôt au fait tu veux Dwight ? Je te connais et si tu m’as cherchée c’est très certainement pour une raison précise. Alors que se passe t-il ? »

    Arquant d’un air interrogatif le visage de son frère, la jeune fille obtenue enfin réponse a sa question lorsqu’il lui tendit un bout de parchemin cacheté sous le symbole de la famille Porter. Son géniteur - cet incapable de père - lui avait écrit une lettre comme chaque année a la rentrée. Soupirant avec lassitude, Héloïse saisit le message de la main de Dwight, qui lui rendit exactement le même regard. Frères et sœurs étaient toujours sur la même longueur d’onde et il allait de même sur ce sujet glissant.

    « A toi de voir, je lui ait répondu déjà. »

    Hochant la tête rapidement, la sorcière adressa un sourire complice à son frangin qui repartit à ses affaires. Quand a l’adepte d’Epicure elle poursuivit sa route vers le parc de l’école de sorcellerie. Le domaine de Poudlard était vaste et s’étendait bien au delà du paysage que l’on pouvait apercevoir. Le temps avait l’air clément en ce début de mâtiné, ce qui eut le loisir de divertir quelques instant l’esprit de l’adolescente. ALorsqu’elle s’apprêtait à ouvrir le fameux message de son paternel, elle entendit un bruit qui semblait provenir de l’arbre qui lui faisait face. L’épiait-on ? Bonne question.

    Ce n’est pas bien d’écouter aux portes, vous n’êtes pas d’accord ?
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